Pour rester autonome et continuer à poursuivre une activité professionnelle valorisante je cherche une prise en charge médicale d'une affection que les médias connaissent bien. Ce syndrome nosocomial Guillaume Depardieu en était touché. Ce merveilleux comé
Séniore
et prête à continuer à produire, la recherche d’une autonomie devient
compliquée dès que la santé s’enfuie.
Historique
Guillaume DepardieuRecherche de Prise en charge Médicale
Hypothèses
Signalements
Administrations
Ressources
Associations
Forum
E.I.G.
Evènements
Indésirable et Grave
Niche Fiscale
Projet de VieEmploi & services
La
recherche de vérité et de sincérité m’a permis de comprendre l’état de santé où
je me trouve.
Grâce à
l’analyse des faits, j’ai compris pourquoi j’écris ce site et j’espère qu’il
arrêtera enfin les agissements négatifs et permettra enfin une prise de
conscience de l’incohérence des refus que j’ai reçu.
Petite
fille d’Auvergnate, vous comprendrez le trait de caractère tenace qui complique
la vie des personnes qui ne souhaitent pas prendre leur responsabilité.
J’ai eu la
chance de construire une propriété. Je crois avoir assis une structure qui
produit et qui je l’espère sera transmise à nos deux filles.
Cet
accident a réduit mes capacités physiques et j’ai dû abandonner la vigne et le
chai.
Mais je
peux produire des travaux de qualité et la confiance dans la personne qui va
traiter vos travaux vous permet d’aborder avec sérénité d’autres projets.
Savoir discerner les qualités et ainsi exploiter les capacités est une aptitude
de valeur.
Pour la petite histoire
Je ne suis pas tombée dans la
cuve mais en descendant de la cuve sur le sol du chai. « Hic-Hic-Hic ….. »
J’ai
obtenu un rendez-vous avec un rhumatologueJe tiens à remercier les correspondants qui ont bien
voulu m’écouter et m’encourager dans mes démarches
C’est
en 1988 que nous avons commencé à planter les premiers pieds de vigne à Saint Seurin de Cadourne.
Conjointe exploitante notre propriété évolue et nous commençons à
commercialiser nos vins en 1990. Le
11 Février 1996 je fais une chute de
cuve. Déclarée comme salariée sur l’exploitation c’est un Accident de travail.
Sur le sol béton, le poignet qui a
amorti la chute est fracturé et des fixateurs sont posés pour consolider la fracture. Deux opérations sont pratiquées, à quelques jours
d’intervalle. Il manque une pièce au matériel qui a déjà servi. Je garde ces
fixateurs en aluminium plusieurs
semaines. Lors d’une radio de contrôle, le service décide en urgence d’enlever
les broches. Quelques jours plus tard ma main se recroqueville.: algoneurodystrophie. La retiraison des
broches se fera le 30-5-1996. Il ne sera prescrit aucun traitement pour cette
pathologie, ni par le Médecin traitant, ni par le chirurgien.
Le 18-6-1996 une radio de contrôle détaille «Opacité
de tonalité métallique ». Cet examen n’a jamais été souligné par aucun des praticiens. Lors de la reprise
des éléments du dossier médical les dates font apparaitre cette preuve. Les troubles vont se succéder sans
explications.
« L’annonce
de Guillaume Depardieu a frappé tout le monde. Il va se faire amputer
prochainement d'une jambe à cause d'un virus attrapé lors d'une opération à
l'hôpital. Ces infections contractées en milieu hospitalier s'appellent des
maladies nosocomiales et font des milliers de morts pas année. En Suisse, une grande
campagne de surveillance est lancée. »
« Grâce
à Guillaume Depardieu (le fils de Gérard), l'importance et la gravité des
maladies nosocomiales (contractées à l'hôpital) sont enfin médiatisées.
Accidenté en 1995, le comédien avait alors développé une infection (1) à la
jambe lors de son hospitalisation. Après huit ans de souffrance et 17
interventions chirurgicales, sa décision est prise. Il devrait se faire amputer
dans quelques jours de son membre gangrené qu'il qualifie de "pourri
Guillaume Depardieu vient de créer
une fondation afin de recueillir les témoignages de personnes victimes du
syndrome nosocomial.
13
Octobre 2008 Guillaume Depardieu Décède
à 37 ans d’une infection pulmonaire.
La fondation n’existe plus à l’adresse indiquée.
Les essais d’accès sur le site Internet nous
présentent à des annonceurs publicitaires.
Je souhaitais faire un don à cette fondation, si vous
pouvez me communiquer la nouvelle adresse je suis preneur.
Il a osé demander des comptes et pour cette action je
lui en suis éternellement reconnaissante.
Il nous a montré la voie. Malgré sa souffrance il a
continué jusqu’au bout de sa passion elle a été plus forte que tout. dans son
affection, j’espère qu’elle lui a permis à lui aussi d’avoir des moments d’accalmie
.
Guillaume Depardieu aurait été le parfait comédien de
mon Manuscrit « Château de l’Aigle » . Une part de la parution de ce
carré de vie ira à la Fondation.
Mais je suis sûre que tu nous aidera à choisir ton
remplaçant.
En 2004 les douleurs évoluent après quelques
séances de mésothérapie sans effet, les essais conduisent à la cortisone.
Le rhumatologue diagnostique une
fibromyalgie après deux infiltrations corticoïdes et une syntigraphie qui ne
présente aucun dérèglement. C’est impossible. La douleur du dos est importante
et il est invraisemblable de ne rien voir apparaître. Le doute pouvait
s’installer. Le choc d’une séparation avait-il atteint l’équilibre mental.
Mais
l’inquiétude de l’ophtalmologiste devant le syndrôme sec des yeux est déjà bien
réel. Les accés de douleur de l’œsophage ont commencé en 1997. Malgré le
signalement au Médecin Traitant, il n’a pas été évoqué de fibroscopie. En unité
des douleurs chroniques la reherche du syndrôme sec est négatif. On arrête la
cortisone, la radio des poumons et la visite du gynécologue seront faites sur
place. Les marqueurs rhumatoïdes ne sont pas présents et les Crp ne sont pas
suffisamment élevés.
Les derniers rapports du Chu confirment que l’on ne
trouve aucun diagnostic.
J’ai pris contact avec le Centre de références
Sud-Ouest pour obtenir un protocole de soins. Toulouse me fait venir, et je ne serai pas reçue par son
représentant. Mais j’ai le plaisir de découvrir grâce au staff, les nouveaux
métaux utilisés pour les fractures ouvertes. Les nouveaux fixateurs évitent les
infections et je suis ravie de cette avancée. Cette décision est une véritable
évolution. Il était nécessaire de changer de matériaux et cette modification a
été mise en place à la suite d’accidents indésirables.
Il y a eu d’autres cas comme le mien.
Au Service des Maladies infectieuses nous avons sur
Bordeaux un chirurgien spécialiste des infections ostéo-Articulaires
C’est
une crise allergique qui m’oblige à agir. Le médecin traitant ne connait pas le
test Aluminium sanguin et à ma demande l’analyse se fera deux mois après la fin
de la crise.
Je
signale l’infection iatrogène aux acteurs qui enregistrent et contrôlent cette
affection.
Je n’ai pas trouvé les personnes à contacter pour
prendre en charge les investigations nécessaires à la mise en place d’un
protocole de soins. Je n’aspire qu’à un
traitement qui réduira mes douleurs.
La polyarthrite n’a pas été validée, cette pathologie
ne fait pas partie des maladies rares, l’infection n’étant pas confirmée je ne
suis pas prise en charge.
« J'ai pris connaissance de votre douloureuse
situation lorsque vous m'avez envoyé un premier e-mail en juillet dernier. Je
suis malheureusement au regret de ne pouvoir donner suite à votre demande, le
Haut Conseil de la santé publique n'ayant pas pour mission de traiter les
dossiers médicaux individuels…….. »
J’avais
bien compris que je n’étais pas seule dans ce cas.
Cette
procédure concerne des patients opérés entre 1988-1993
J’ai
retrouvé les textes de signalements de 1996
Les Centres
Nationaux de Référence (CNR) sont désignés pour trois ans par arrêté du
Ministère chargé de la Santé. Partenaires de la Direction Générale de la Santé
(DGS) et du Réseau National de Santé Publique (RNSP), ils répondent aux
objectifs de la surveillance de diverses maladies transmissibles en France.
Leurs missions sont définies dans l'arrêté du 7 octobre 1996 (J.O. du
25/10/1996). Elles sont :
· L'expertise
concernant la microbiologie ou la pathologie des agents infectieux ;
· La
contribution à la surveillance épidémiologique ;
· L'alerte
par l'information immédiate de Ministre chargé de la santé (DGS et RNSP) de
toute constatation pouvant avoir des répercussions graves sur l'état sanitaire
de la population ;
Le conseil des pouvoir publics et des professionnels de la santé.
Je
suis restée dans l’ignorance de ces aléas opératoires depuis 1996, mais on a
voulu me convaincre de multiples maladies. Je n’attendrais pas encore 13 ans un
traitement et une réparation de cet « évènement indésirable ». J’ai
perdu beaucoup de temps et mon énergie s’est réduite. Au regard des autres
maladies contagieuses ou non, il n’y a aucune difficulté de prise en charge et
je ne comprends absolument pas pourquoi ce statuquo. D’autant plus que je n’ai
toujours pas confirmation de l’agent pathogène et du risque de contamination
possible. L’altération du foie s’est révélé par la mesure hépatique, la biopsie
est nécessaire. Obtenir ce stade d’examen relève du miraculeux et je me suis retrouvée devant un examen de
fibroscopie, qui n’a d’ailleurs pas pu être réalisé sans anesthésie, en me
félicitant de la chance d’avoir obtenu ce rendez-vous. J’ai cotisé pendant 40
ans à la Sécurité Sociale et ma rente d’accident de 18 % va être imposée
en 2010.
Vingt ans après les premières
contaminations de patients de la
Clinique du sport par une redoutable bactérie, la justice va se pencher à partir de mardi
sur les pratiques, entre 1988 et
1993, de cet établissement réputé, dans un dossier qui avait mis en lumière le
problème des maladies nosocomiales.
Jugés jusqu'au 28 octobre par le tribunal
correctionnel de Paris, trois médecins, dont l'ancien directeur de cette
clinique parisienne, sont accusés d'avoir contribué, par négligence des règles
sanitaires, à la propagation de la mycobactérie xenopie dans le réseau d'eau de
la clinique.
Cette bactérie a provoqué chez 58 patients
opérés des lombaires ou des cervicales entre janvier 1988 et mai 1993
l'apparition d'une maladie s'apparentant à une tuberculose osseuse. Une
quarantaine de victimes se sont constituées parties civiles.
Mis en cause pour avoir réutilisé des kits
d'intervention à usage unique et pour des carences dans le protocole de
stérilisation des instruments chirurgicaux, les trois praticiens sont notamment
poursuivis pour "blessures involontaires" et "tromperie".
Des accusations entièrement contestées par
les intéressés qui ne doutent pas de "sortir la tête haute de cette
histoire", assure Me Olivier Leclere, avocat du Dr Pierre Sagnet,
directeur de l'établissement à l'époque des faits.
"Au regard des connaissances et des pratiques de l'époque, toutes
les précautions sanitaires ont été prises", argumente-t-il en soulignant
le "paradoxe" de voir poursuivis les médecins à titre individuel et
non la clinique, au titre de personne morale, comme organisatrice du protocole
sanitaire.
"Un chirurgien est-il responsable de la qualité du réseau d'eau de
la clinique qui l'emploie? Non, à l'évidence", insiste Me Xavier Flécheux,
avocat de Didier Bornert, l'un des médecins ayant opéré les patients
contaminés, comme ses co-prévenus les Drs Sagnet et Patrick Béraud.
Alors que la défense s'attache à minimiser la portée d'un procès
"très éloigné des accusations de départ", les parties civiles
insistent sur le caractère exemplaire de cette affaire. "C'est le symbole
de presque tout ce qu'il ne faut pas faire en matière de +médecine business+ et
le point de départ de la mise en lumière des maladies nosocomiales dans
l'opinion publique", estime Me Patrick de la Grange, qui défend les
intérêts de plusieurs victimes.
"C'est le plus gros scandale français en matière de maladie
nosocomiale. Il y a eu un avant et un après Clinique du sport", observe
Alain-Michel Ceretti, époux de l'une des victimes. L'association qu'il a fondée
dans la foulée de cette affaire, baptisée "le Lien", est devenue le
fer de lance de la bataille contre les infections contractées à l'hôpital qui
ont fait l'objet, ces dernières années, de plusieurs évolutions réglementaires
et législatives.
Alain-Michel Ceretti est depuis le 1er janvier chargé du nouveau pôle
Médecine et Sécurité auprès du médiateur
de la République.
L'ex-directeur de la Clinique du Sport est également poursuivi pour
avoir attendu plusieurs années avant de prendre les mesures destinées à stopper
la contamination.
En octobre 1997, des milliers de patients de la clinique avaient été
rappelés, sur injonction du ministère de la Santé, pour faire l'objet d'un
dépistage systématique.
Indemnités et rentes servies aux Accidentés en compensation
du préjudice financier
"L'amendement,
adopté par le Sénat lors des débats relatifs au projet de loi de finances pour
2009, prévoyait effectivement la fiscalisation des indemnités journalières
servies aux victimes d'accidents du travail ou de maladies professionnelles
visées au 8° de l'article 81 précité.
Mais cette disposition
a été supprimée par la commission mixte paritaire et ne figure donc pas dans la
loi de finances pour 2009 (n° 2008-1425 du 27 décembre 2008) publiée au
Journal officiel de la République française du 28 décembre 2008.
Ainsi, les indemnités
journalières servies aux victimes d'accidents du travail ou de maladies
professionnelles continuent de bénéficier du régime fiscal favorable rappelé
ci-dessus."
Le chef de
file des députés UMP, Jean-François Copé, l'annonce dans Les Echos ce mercredi
: il s'est entendu avec le ministre du Budget, Eric Woerth, pour taxer les
indemnités journalières versées par la Sécurité sociale aux salariés victimes d'accident
du travail, les arrêts maladie étant déjà fiscalisés.
L'objectif serait de glaner
ainsi 150 millions d'euros. Cette disposition, qui figurait au projet de budget
2008, avait été retirée sous la pression des associations de défense des victimes
d'accident. Cette fois-ci, elle pourrait être mise en œuvre dès 2010.
Le gouvernement "étudiera sérieusement" un éventuel amendement
imposant les indemnités des accidentés du travail, mais n'inclura pas de mesure
en ce sens dans le projet de Budget présenté la semaine prochaine en Conseil
des ministres, a précisé pour sa part le ministre de l'Industrie Christian
Estrosi.
"Niche fiscale"
Cela fait partie des niches fiscales, a estimé dans Les Echos le sénateur de
l'Union centriste, Jean-Jacques Jégou.
Bien que le dispositif prévoit d'exclure les maladies longues et les rentes
viagères versées aux victimes d'accident, les associations ont exprimé leur
colère. "Ces indemnités n'ont pas à être fiscalisées car elles sont la
réparation d'un préjudice, réparation qui n'est pas totale, loin de là", a
déclaré Arnaud de Broca, président de la FNATH (Association des accidentés de
la vie).
"Il n'y a plus de mots assez forts pour dénoncer l'indécence de cette
coproduction gouvernement/majorité qui demande aux pauvres, aux malades et aux
accidentés de payer pour les plus riches", a déclaré le chef de file des
députés PS, Jean-Marc Ayrault, en réaction à cette nouvelle, rappelant
que le forfait hospitalier devrait aussi augmenter.
"Ce qui nous choque, c'est qu'on puisse songer à une telle mesure quand on
sait que quelqu'un qui est victime d'un accident du travail touche entre 60% et
70% seulement de son salaire. C'est extrêmement choquant", a déclaré à
l'AFP Pascale Coton, secrétaire générale adjointe de la CFTC.
Aval du Premier ministre
Ce mercredi, Jean-François Copé a insisté sur le sens de cette mesure :
"Les Français nous ont dit qu'il y avait un problème d'équité:
aujourd'hui, quand vous êtes une femme enceinte et que vous allez en congé
maternité, lorsque vous êtes malade et en arrêt de travail, lorsque vous êtes
au chômage... vous payez des impôts. Et lorsque vous avez un accident du
travail, vous ne payez pas d'impôts !" "Il y a une injustice d'une
situation par rapport à l'autre", donc "nous prenons nos responsabilités
de parlementaires", a-t-il encore déclaré.
Le chef des députés UMP a également affirmé que le Premier ministre François
Fillon avait mercredi matin, lors du petit-déjeuner de la majorité,
"largement approuvé" les mesures préconisées pour le prochain budget,
"notamment celle concernant la fiscalisation des indemnités accidents du
travail".
Je souhaite garder une autonomie physique et financière.
A + de 50 ans il a été impossible de retrouver un
emploi de Cadre.
Les emplois proposés, des contrats aidés, m’ont permis
de transmettre les pratiques informatiques aux
Élèves de primaires et aux élèves handicapés.
Cela m’a permis de déplacer la souffrance physique
pendant quelques mois.
Je recherche un poste où je pourrais mettre mes
compétences à disposition. S’occuper de Dys est valorisant et
J’aimerai continuer à assurer la formation du B2i.
Lors d’applications nous avons mis en place le
« Soin des Mains » en Mai dernier. Ces applications auront servies
à nos enfants et j’espère que grâce à ces actions ils
ne seront pas atteints par le Virus.
Pour promouvoir nos vins, j’ai eu le plaisir de
suivre la Formation de dégustateur de Vins pour labelliser les Millésimes
Bordelais. Cette pratique m’a permis d’élargir mes dégustations sur toute la
France mais aussi avec les vins étrangers. Le schéma de mes dégustations se
sont élargies grâce à mes confrères viticulteurs et si cette élaboration s’est
faite dans le temps je suis fière de pouvoir de temps en temps et transmettre
cet éclairage du goût. (Note:
les vertus des Tanins).
Jusqu’en 2004 « La Table du Vigneron »
a servi ses fromages aux Confitures de Vins, les Greniers médocain aux tanins
verts, les pains perdus aux vergus sucrés……………..
Quitter la terre a été difficile, mais curieuse
je suis disponible et reste persuadée que je peux apporter de nombreux services
à la structure qui comprendra les atouts de mon profil.
En attendant une ouverture, je poursuis des Formations
de programmation à distance, mais j’ai commencé à travailler à 17 ans et je ne
possède pas mon Bac. Pour le Ministère de l’Education la motivation et la
qualification ne sont pas suffisantes. J’ai souhaité une Validation d’acquis
qui n’a pas pu se mettre en place.